30e édition de Livres en Folie un grand succès, pour les organisateurs.
La 30e édition de Livres en Folie, qui s’est tenue le jeudi 15 août à l’hôtel Karibe à Pétion-Ville, a une fois de plus confirmé sa place de rendez-vous littéraire incontournable en Haïti. Un public, majoritairement Jeune, très enthousiaste, se deplace avec un esprit plein de curiosité pour découvrir les differents ouvrages à travers lesquels les auteurs haïtiens nous parlent.
De très tôt ce 17 août 2024
une effervescence palpable régnait dans les couloirs de l’hôtel Caribbe. Auteurs, éditeurs, et lecteurs se sont retrouvés dans une ambiance électrique, marquée par une forte affluence autour des stands des principales maisons d’édition telles que C3 Éditions, Nouveautés Plus, et Maison Deschamps. Les ventes ont rapidement dépassé les attentes avec certains titres épuisés bien avant la fin de la journée. « Je n’ai jamais vu autant de monde ici », a confié un jeune habitué de l’événement, ajoutant : « C’est impressionnant de voir que, malgré les défis que traverse le pays, la littérature continue de rassembler autant de personnes. »
Ce fut une grande Occasion mais aussi une grande première pour l’écrivain past.Amel Lafleur de présenter au grand public trois(3) des ses ouvrages,parmi eux «que le mariage soit honoré de tous» qui a connu un succès grace à une page virale sur les réseaux sociaux.
Livre en folie, c’est une Occasion pour que les gens qui ont perdu de vu depuis de très longue date se croise.
Il est à noter que l’espace réservé à l’événement s’est avéré insuffisant pour accueillir une foule massive. Les visiteurs ont rapidement rempli les salles et les couloirs, rendant la circulation difficile à l’intérieur tout comme sur le marré-chaussée de petion-ville. « C’est presque impossible de se frayer un chemin jusqu’aux livres. L’espace n’est pas suffisant pour gérer tout ce monde », a déploré une étudiante présente à l’événement.
Cette édition de 2024 marque la troisième année consécutive du retour de Livres en Folie après les suspensions de 2019, 2020 et 2022, causées par l’insécurité croissante et la pandémie de coronavirus.